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Lors d’une fusillade, une balle arrache la moitié du visage de Laure, la replongeant dans les affres de la violence pure qui avait marqué son enfance et dont elle se libérait enfin. À l’hôpital, les visites régulières d’un employé lui insufflent un fragile espoir, mais lorsqu’il disparaît soudainement, le vide se fait plus lourd encore. Recueillie par son frère puis par un couple inattendu, Laure s’accroche à une reconstruction douloureuse en cherchant à comprendre les causes de ces explosions de violence incoercibles, ces crises d’amok, qui jalonnent le monde actuel.

COMMENTAIRES

Barra:

AMOKS nous plonge dans l’histoire de Laure, une jeune femme blessée par balle, qui tente de reconstituer sa mémoire et comprendre les événements qui ont bouleversé sa vie. En parallèle, nous suivons l’obsession de Serge, un ancien camarade d’école marginalisé, dont la violence intérieure déborde progressivement dans la réalité, avec des conséquences tragiques.

Avec AMOKS, vous poursuivez votre exploration de thèmes percutants comme l'isolement, la frustration sociale et la violence cachée. La psychologie de vos personnages est finement dépeinte, notamment dans l’évolution de Serge, et vous réussissez à maintenir un suspense constant tout au long du récit. Le jeu entre la réalité et le monde virtuel renforce cette tension, tout en amenant progressivement les révélations sous-jacentes à la violence.
Ce roman, que l’on peut qualifier de tragédie psychologique contemporaine, est par ailleurs solidement construit. Le climat oppressant que vous installez dans le texte, associé aux éclats soudains de violence, captive le lecteur. De plus, la fluidité entre les souvenirs de Laure et le déroulement des événements est bien menée et contribue à l’immersion.
Enfin, votre style direct et immersif renforce l’intensité émotionnelle du récit. Les rebondissements sont bien intégrés et la fin tragique de Serge apporte un épilogue fort et marquant à cette histoire. Quant à Laure, elle incarne avec intensité la résilience face à la violence et aux traumatismes, ajoutant là encore une dimension émotionnelle puissante à l’histoire.

Alain :

Ce dernier livre n’a plus rien à voir avec les précédents, car axé sur la psychopathologie. J’imagine que dans ses études de médecine l’auteur a dû travailler un peu de psychiatrie. Finalement le problème c’est comment EXISTER dans une société de plus en plus matérielle et égoïste. Je me souviens d’une définition de l’égoïsme: celui qui ne s’intéresse pas à moi……donc je n’existe pas!

J’ai trouvé très intéressant la manière dont l’auteur a mis en scène ses personnages venant d’horizons divers et surtout leur peine à réduire à néant l’amok qui pousse à la violence gratuite. C’est l’essence du comportement par exemple des Black Blocks ou de certains groupes de Bikers que l’on retrouve dans le livre. Heureusement il y a le travail remarquable de la psychiatre E. Schwartz.  Tout n’est pas perdu...

Marie-Laure :

Par amour, elle n'a pas révélé ce qu'elle savait de son agresseur, par amour, ils ont écouté et soutenu agressée et agresseur.

Par amitié, il a fait que la vérité éclate en rendant justice. Tous ont souffert, sont tombés et se sont relevés!

C'est un très beau roman et je l'ai lu d'une traite. J'ai aimé l‘écriture très fluide et agréable. Elle accroche par son suspense et les détails sur la nature et l'émotion de chacun.

Merci pour ce bon moment de lecture qui sensibilise à une certaine réflexion, sur le présent et le vécu !

Anne :

J'ai lu avec grand plaisir "AMOKS" . Tellement passionnant que je l'ai lu d'une traite! Vite plongée dans l'intrique , découverte de ce comportement malheureusement si actuel, des rebondissements accrocheurs......merci de m'avoir fait découvrir ce roman que j'aurai plaisir à partager.

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